Vous vous trompez.
Dans le graphique, le taux de croissance du PIB en volume est représenté par la courbe rouge. Repérez bien sur l'axe des abcisses l'année 2000 et pour cette année là, lisez sur l'axe des ordonnées à gauche la valeur du taux de croissance du PIB en volume.
Vous avez raison.
En 2000, le taux de croissance du PIB en volume a bien été de 3,7%.
Vous vous trompez.
Le document ne représente pas l'augmentation des dépenses de consommation finale des ménages, mais l'influence de cette consommation sur la croissance du PIB.
Vous avez raison.
Le document ne représente pas l'augmentation des dépenses de consommation finale des ménages, mais l'influence de cette consommation sur la croissance du PIB.
Vous avez raison.
Le document représente bien l'influence de l'évolution des dépenses de consommation finale des ménages sur la croissance du PIB. Cette évolution a contribué à stimuler la croissance du PIB à hauteur de 1,8 point de PIB.
Vous vous trompez.
Le document représente bien l'influence de l'évolution des dépenses de consommation finale des ménages sur la croissance du PIB. Cette évolution a contribué à stimuler la croissance du PIB à hauteur de 1,8 point de PIB.
Vous avez raison.
Le document représente bien l'influence de l'évolution des dépenses de consommation finale des ménages sur la croissance du PIB. Cette évolution a contribué à stimuler la croissance du PIB à hauteur de 1,8 point de PIB.
Comme la croissance du PIB en 2000 a été de 3,7%, 1,8 point de croissance représente bien quasiment la moitié de celle-ci.
Vous vous trompez.
Le document représente bien l'influence de l'évolution des dépenses de consommation finale des ménages sur la croissance du PIB. Cette évolution a contribué à stimuler la croissance du PIB à hauteur de 1,8 point de PIB.
Comme la croissance du PIB en 2000 a été de 3,7%, 1,8 point de croissance représente bien quasiment la moitié de celle-ci.
Vous vous trompez.
On ne peut pas dire, ici, que les dépenses de consommation finale des ménages ont augmenté de 1,8% la croissance du PIB en 2000. Cela signifierait en fait que 1,8% de la croissance du PIB (+ 3,7%) serait due à ce facteur, soit une stimulation de la croissance de 0,066 point de PIB (0,018 x 0,037).
Vous avez raison.
On ne peut pas dire, ici, que les dépenses de consommation finale des ménages ont augmenté de 1,8% la croissance du PIB en 2000. Cela signifierait en fait que 1,8% de la croissance du PIB (+ 3,7%) serait due à ce facteur, soit une stimulation de la croissance de 0,066 point de PIB (0,018 x 0,037).
Pour l'année 2000, la croissance du PIB a été de 3,7%.
Les dépenses de consommation finale des ménages expliquent 1,8 point de cette croissance (48,6%).
Les dépenses de consommation finale des administrations publiques expliquent 0,4 point de cette croissance (10,8%).
Les dépenses de consommation finale des ISBLSM expliquent 0,1 point de cette croissance (2,7%).
La formation brute de capital fixe explique 1,2 point de cette croissance (32,4%).
Le solde extérieur des biens et services joue négativement en 2000 et pénalise la croissance de 0,3 point (-8,1%).
La variation des stocks explique 0,5 point de cette croissance (13,5%).
Si l'on fait la somme de ces contributions on obtient :
1,8 + 0,4 + 0,1 + 1,2 - 0,3 + 0,5 = 3,7 points de PIB
Dit autrement :
48,6% + 10,8% + 2,7% + 32,4% - 8,1% + 13,5% = 99,9% (on devrait arriver à 100% sans les arrondis).
C'est une décomposition de la participation de chaque facteur à la croissance du PIB que l'on pose égale à 100% ici.
Vous avez raison.
Ce sont effectivement les dépenses de consommation finale des ménages qui expliquent la part la plus importante de la croissance économique en général. On peut d'ailleurs noter que ce facteur n'a jamais joué un rôle négatif sur la période retenue dans le document.
Vous vous trompez.
Les dépenses de consommation finale des administrations publiques jouent un rôle modeste dans la croissance sauf en période de récession (rôle contracyclique des dépenses publiques). Par contre, dans les périodes de reprise, ce rôle s'amoindrit en général voire devient négatif comme en 1998.
Vous vous trompez.
Les dépenses de consommation finale des institutions sans but lucratif au service des ménages jouent un rôle très modeste dans la croissance. Elles correspondent à la production de biens et de services non marchands à destination des ménages réalisée par des associations à but non lucratif.
Vous vous trompez.
La formation brute de capital fixe ne joue jamais le rôle le plus important dans la croissance, même si parfois ce rôle est important (1998, 1999, 2000, 2007). Par contre dans les périodes de récession il est souvent un facteur important de celle-ci (2009).
Vous vous trompez.
Le solde extérieur des biens et services joue en général un rôle modeste dans la croissance. S'il s'améliore (augmentation de l'excédent ou diminution du déficit des échanges extérieurs), son influence est positive. S'il se détériore (réduction de l'excédent ou aggravation du déficit), son influence est négative.
Vous vous trompez.
La variation des stocks joue en général un rôle mineur dans la croissance. On notera toutefois qu'en 2009 elle a joué un rôle particulièrement important, constituant le facteur le plus puissant de la récession.
Les dépenses de consommation finale des ménages constituent le principal facteur de la croissance économique. Pour stimuler cette variable il faudrait :
Augmenter le pouvoir d'achat des revenus des ménages (salaires plus élevés, revenus de transfert plus importants). Cela suppose que l'inflation soit maîtrisée ou plus précisément que les revenus progressent plus vite que l'inflation.
Réduire de façon sensible le chômage, la précarité, les emplois à temps partiel, sources de revenus faibles et d'inquiétudes quant à l'avenir incitant les ménages à épargner plus au lieu de consommer.
Réduire la propension à épargner, ce qui mécaniquement accroît la propension à consommer.
Réduire les taux d'intérêt sur les crédits à la consommation pour stimuler la demande ceux-ci.
Cette stimulation des dépenses de consommation finale des ménages permettrait également une stimulation de la formation brute de capital fixe. Pour répondre à la demande des ménages les entreprises devraient produire plus et pour cela peut-être investir. On aurait ainsi un second ressort à la croissance économique.
Attention toutefois que cette demande plus importante ne contribue à dégrader le solde de nos échanges extérieurs, ce qui constituerait un frein à la croissance.