L'empreinte écologique et la biocapacité : comparaisons internationales
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Gaz à effet de serre (GES).
Les principaux gaz responsables de l'effet de serre, dont les émissions sont encadrées par le protocole de Kyoto, sont le dioxyde de carbone (CO2) , le méthane (CH4), l'oxyde nitreux (N2O), et les gaz fluorés (HFC, PFC et SF6). Les émissions de ces six gaz sont pondérées par leurs potentiels de réchauffement global (PRG) et exprimées en équivalents CO2 pour donner un total d'émissions en équivalents CO2.
[La mesure de l'empreinte carbone ne comprend pas les gaz fluorés. Ces derniers ne représentent que 3 % des six gaz à effet de serre pris en compte par le protocole de Kyoto.]
Gaz à effet de serre (GES).
Les principaux gaz responsables de l'effet de serre, dont les émissions sont encadrées par le protocole de Kyoto, sont le dioxyde de carbone (CO2) , le méthane (CH4), l'oxyde nitreux (N2O), et les gaz fluorés (HFC, PFC et SF6).
Empreinte carbone.
L’empreinte carbone représente la quantité de gaz à effet de serre (GES) émise pour satisfaire la consommation sur le territoire, y compris celle liée aux importations.
Vous avez tort.
9,20 - 6,50 = 2,7 hectares par habitant. Le déficit écologique s'obtient donc en soustrayant la surface moyenne de l'empreinte écologique à celle de la biocapacité.
Vous vous trompez.
Le déficit écologique est négatif si la surface moyenne de l'empreinte écologique est inférieure à celle de la biocapacité (on parlera alors de réserve écologique), ce qui n'est pas le cas des États-Unis.
Vous avez raison.
9,20 - 6,50 = 2,7 hectares par habitant. Il s'agit du déficit écologique le plus élevé parmi les différentes régions du monde.
Mauvaise réponse.
La région Asie-Pacifique est certes caractérisée par un déficit écologique (l'empreinte écologique totale est supérieure à la biocapacité totale), mais il s'agit là d'une moyenne. Au sein de cette région, certains pays ont un déficit écologique (le Japon, la République de Corée, Singapour ou la Chine, notamment) mais d'autres sont caractérisés au contraire par une réserve écologique (Mongolie, Australie, Nouvelle-Zélande, etc.).
Bonne réponse.
La région Asie-Pacifique est certes caractérisée par un déficit écologique (l'empreinte écologique totale est supérieure à la biocapacité totale), mais il s'agit là d'une moyenne. Au sein de cette région, certains pays ont un déficit écologique (le Japon, la République de Corée, Singapour ou la Chine, notamment) mais d'autres sont caractérisés au contraire par une réserve écologique (Mongolie, Australie, Nouvelle-Zélande, etc.).
Vous avez raison.
9,20 / 1,40 = 6,6. Il s'agit du rapport entre l'empreinte écologique la plus élevée et la plus faible parmi les différentes régions du monde.
Mauvaise réponse.
9,20 / 1,40 = 6,6. Il s'agit du rapport entre l'empreinte écologique la plus élevée et la plus faible parmi les différentes régions du monde.
Bonne réponse.
En 2005, l'empreinte écologique représente 17,4 milliards d'hectares globaux et la biocapacité totale 13,4 milliards d'hectares globaux. Les besoins de la population mondiale (en terre et eaux biologiquement productives) correspondaient donc bien à 1,3 planètes [17,4 / 13,4 = 1,3].
Vous avez raison.
L'empreinte écologique mondiale correspondait à une superficie équivalent à 1.3 planète [17,4 / 13,4 = 1,3], alors que la biocapacité mondiale correspond par définition à une planète : il y a bien une différence de 30 %.
Vous avez tort.
L'empreinte carbone devient la composante la plus importante de l'empreinte écologique, devant les terres cultivées, à partir du milieu des années 1970.
Vous avez raison.
La production d’énergie à partir de
combustibles fossiles (charbon, pétrole, gaz naturel) a fortement progressé depuis les années 1970, d'où des émissions de CO2 en forte hausse.