Les différentes composantes de l'empreinte écologique
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Gaz à effet de serre (GES).
Les principaux gaz responsables de l'effet de serre, dont les émissions sont encadrées par le protocole de Kyoto, sont le dioxyde de carbone (CO2) , le méthane (CH4), l'oxyde nitreux (N2O), et les gaz fluorés (HFC, PFC et SF6). Les émissions de ces six gaz sont pondérées par leurs potentiels de réchauffement global (PRG) et exprimées en équivalents CO2 pour donner un total d'émissions en équivalents CO2.
[La mesure de l'empreinte carbone ne comprend pas les gaz fluorés. Ces derniers ne représentent que 3 % des six gaz à effet de serre pris en compte par le protocole de Kyoto.]
Gaz à effet de serre (GES).
Les principaux gaz responsables de l'effet de serre, dont les émissions sont encadrées par le protocole de Kyoto, sont le dioxyde de carbone (CO2) , le méthane (CH4), l'oxyde nitreux (N2O), et les gaz fluorés (HFC, PFC et SF6).
Empreinte carbone.
L’empreinte carbone représente la quantité de gaz à effet de serre (GES) émise pour satisfaire la consommation sur le territoire, y compris celle liée aux importations.
Vous avez raison.
En 1985, la demande que les populations et les activités exercent sur la biosphère, c'est-à-dire les besoins en biocapacité ou empreinte écologique, a commencé à dépasser la biocapacité totale, c'est-à-dire la quantité disponible de terre et d'eaux biologiquement productives.
Vous vous trompez.
Relisez le graphique en prêtant attention à la signification des aires et de la courbe.
Vous vous trompez.
Relisez le graphique en prêtant attention à la signification des aires et de la courbe.
Mauvaise réponse.
Vérifiez la signification des aires et de la courbe : vous vous apercevrez que vous confondez la biocapacité totale avec l'empreinte écologique.
Vous avez raison.
L'empreinte écologique, c'est-à-dire la quantité de terre et d'eaux consommée par la population et les activités, représentait en 2005 17,4 milliards d'hectares globaux.
Bonne réponse.
En 2005, l'empreinte écologique représente 17,4 milliards d'hectares globaux et la biocapacité totale 13,4 milliards d'hectares globaux. Les besoins de la population mondiale (en terre et eaux biologiquement productives) correspondaient donc bien à 1,3 planète [17,4 / 13,4 = 1,3].
Vous avez raison.
L'empreinte écologique mondiale correspondait à une superficie équivalant à 1,3 planète [17,4 / 13,4 = 1,3], alors que la biocapacité mondiale correspond par définition à une planète : il y a bien une différence de 30 %.
Vous avez tort.
L'empreinte carbone devient la composante la plus importante de l'empreinte écologique, devant les terres cultivées, à partir du milieu des années 1970.
Vous avez raison.
La production d’énergie à partir de
combustibles fossiles (charbon, pétrole, gaz naturel) a fortement progressé depuis les années 1970, d'où des émissions de CO2 en forte hausse.