L'empreinte écologique
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Vous avez raison.
L'Indice de développement humain (IDH) est un indicateur agrégé (ou synthétique). Il résume donc le niveau de développement humain par un seul chiffre ce qui lui confère simplicité et lisibilité.
Vous vous trompez.
L'Indice de développement humain (IDH) est un indicateur agrégé (ou synthétique) et non un tableau de bord. Il ne prend donc en compte qu'un nombre nécessairement limité d'aspects du développement humain. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle le Programme des Nations Unis pour le Développement (PNUD) publie également d'autres indicateurs agrégés permettant de prendre en compte davantage d'aspects du développement humain (cliquez sur "autres variables" dans le texte pour une description).
Vous avez raison.
L'Indice de développement humain (IDH) prend en compte plusieurs dimensions du développement humain comme la santé et l'éducation. Il s'agit là de son principal avantage, de sa "raison d'être", en comparaison de la seule dimension monétaire contenue dans le PIB ou les revenus.
Vous avez raison.
L'empreinte écologique correspond à la surface totale en hectares pour subvenir aux besoins d'un individu (se loger, se nourrir, se déplacer, etc.) ; elle dépend donc du mode de vie.
Vous avez tort.
L'empreinte écologique correspond à la surface totale en hectares pour subvenir aux besoins d'un individu (se loger, se nourrir, se déplacer, etc.) ; elle dépend donc du mode de vie.
Vous avez tort.
Chaque type de consommation ou de production de déchets peut être évalué sous la forme d'une surface bioproductive.
Vous avez raison.
Chaque type de consommation ou de production de déchets peut être évalué sous la forme d'une surface bioproductive.
Vous avez raison.
Dans le cas contraire, le capital naturel, autrement dit les ressources naturelles de la planète s'épuisent.
Vous vous trompez.
Si elle est supérieure, alors le capital naturel, autrement dit les ressources naturelles de la planète s'épuisent.
Vous avez raison.
Sachant que les émissions sur le territoire ont diminué entre 1990 et 2010, l'empreinte carbone ne peut avoir augmenté que si les émissions associées aux importations ont (fortement) augmenté.
Vous vous trompez.
La baisse des émissions sur le territoire entre 1990 et 2010 peut difficilement être associée à une hausse des émissions des établissements implantés sur le territoire.